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ville de vanves - Page 347

  • LE CENTENAIRE DE LA PAROISSE SAINT FRANCOIS D’ASSISE PAS CELEBRE MAIS REPORTE ?

    Est-ce dû à l’effet Confinement, mais un anniversaire est passés inaperçu ses dernières semaines qui sera sûrement célébré lorsque les rassemblements seront de nouveau autorisé, d’autant plus que le père curé Bertrand Auville le souhaitait et l’avait annoncé l’année dernière lors de la Saint François  : les cent ans de la paroisse Saint François d’Assise, le 13 Mars dernier.  Ce jour là, voilà cent ans,  le Cardinal Dubois vint bénir la chapelle du Plateau dont certains habitants du Plateau se souviennent (de la chapelle bien sûr).  Elle a dû être détruite au milieu des années 80 car elle menaçait de s’effondrer, des pierres tombant sur les paroissiens, et remplacé par l’église actuelle avec son pavillon pour le foyer d’accueil. Elle a été inaugurée et bénie en 1986 par Mgr Favreau, alors Evêque du diocése des Hauts de Seine

    Ce cardinal avait nommé comme curé le célébre abbé Mortier qui s’installa ce jour là dans sa nouvelle paroisse où la chapelle et le presbytére avaient été construit en brique par Charles Venner, architecte sur un terrain acheté grâce à l’aide l’archevêché de Paris. Pour préserver l’esplanade, elle avait été bâtie en retrait de la rue Sadi Carnot à l’emplacement des jardins de la paroisse actuelle, difficilement visible, parce que tréx basse, signalée  par aucune clocher. Seul, son portail en plein cintre, flanqué de doubles fenêtres, elles aussi en plein cintre, permettaient de la distinguer des maisons environnantes.  L’intérieur de cette chapelle est rythmée par des piliers en bois qui soutiennent le plafond tandis qu’un arc triomphal sépare alors le chœur de la nef. Le presbytére était à l’emplacement du foyer d’accueil où le pére Mortier s’était installé avec son vicaire. A chaque fête l’église était ornée le mieux possible et l’abbé Mortier aimait à ranger lui même les fleurs et les plantes afin d’en tirer le meilleur parti.

    L’abbé Mortier arrivait sur une véritable terre de mission, mais il a marqué durablement les paroissiens de cette époque. Entre les 2 guerres, la population du Plateau atteignait 12 000 âmes composées de cheminots, de petits ouvriers ou employés, de chiffonniers, presque tous originaires de la Bretagne, de la Normandie. «En s’éloignant de leur clocher natal, presque tous ces déracinés n’ont trouvé que déception, ruiné leur santé, abandonné complétement leurs pratiques religieuses qui n’étaient d’ailleurs chez beaucoup qu’une routine : « Vous comprenez, Monsieur le Curé, ici ce n’est pas l’habitude » racontait un habitant dont le témoignage a été retrouvé dans les archives de la paroisse et rapporté dans un ouvrage consacré aux 85 ans de la paroisse à l’occasion des 20 ans de la nouvelle église. « En le voyant arriver, on craignit tout de suite que le prêtre ne voulut s’imposer, mettre la main sur toutes choses. Or, on le vit s’installer très simplement, vivre comme tout bon citoyen, sans bruit, sans se faire remarquer. On était également convaincu que « le curé » serait un homme d’argent, et bien vite, on s’aperçut que menant une vie très ordinaire, n’ayant que le strict nécessaire, habitant une maison très simple d’ameublement et dans aucun confort, ce prêtre n’était pas ce qu’on avait pensait. Il se contentait des quêtes et des offrandes qu’on lui apportait»

    Ce pére curé a raconté qu’il s’était rendu compte « qu’un des gros efforts devrait porter tout naturellement sur l’enfant. Avant 1921 rien n’existait encore pour le bien de cette jeunesse. Nous remarquâmes très vite que, là comme en beaucoup d’autres endroits, l’enfant, très délaissé, fait à peu prés ce qu’il veut, les parents se préoccupant fort peu, pour ne pas dire aucunement, de son éducation religieuse ». C’est ainsi, au prix de quelques aménagements, récupération de baraque de guerre, il commença  à installer ce qu’on appelait un patronage, avec d’un côté les œuvres des fille, de l’autre celles des garçons Plus de 500 enfants étaient accueillis en 1935 réparties en plusieurs sections pour le cercle d’études, le cathéchisme, Il lança alors des colonies de vacances qu’il installa dans « ces maisons merveilleuses» qui ont imprégnié les jeunes de l’’époque tout autant que Saint Gilles  Croix de Vie que la Féclaz.

    C’est une mémoire du plateau que rappelle une plaquette éditée par la paroisse pour les 20 ans de la nouvelle église, écrite par des paroisiens avec des témoignages d’habitants du quartiers dont certains nous quitté maintenant, à l’initiative du pére curé de l’époque, Yves Morel  : «1921-2006 : 85 ans de vie paroissiale»

  • VANVES DANS LE CREUX DE L’OREILLE

    CES VILLES OU IL FAIT BON VIVRE

    L'association Villes et Villages de France a publié son palmarès 2021 des villes agréables. Marnes la Coquette la plus petite commune en nombre d’habitants (1800 ) arrive en tête du palmarés dans sa categorie.  Courbevoie 31e mais première dans le 92, suivi par Levallois, 32e,  Boulogne-Billancourt 35e, Colombes 38e, Asnière 41e, Reuil 43e ,  Nanterre 44e …sont bien classées dans les villes de plus de 50 000 habitants. 183 critères sont retenus pour l’évaluation des communes. Ils sont divisés en huit catégories : la qualité de vie, la sécurité, les transports, les commerces et services, la santé, l’éducation, les sports et loisirs et la solidarité. Chaque critère perd ou gagne en importance en fonction des priorités des Français, mesurées par un sondage Opinionway.Vanves se  positionne à la 32e position départementale sur 36 Communes, mais à la 17e places pour les communes de 20 000 à 50 000 hs, à la 313e place sur 34 837 communes françaises et à la 158e place dans sa catégorie

     

    LES TRAVAUX A MICHELET

    Au lycée Michelet, le chantier de rénovation des infrastructures sportives avance  actuellement comme peuvent l’apercevoir les Riverains, avecses zngins que les passants aperçoivent au dessus du mur d’enceinte.  Les travaux financés par la Région, la Ville et le Département, ont débuté à la fin de l'été 2020, pour une durée de 13 mois avec un prévisionnel d'ouverture des infrastructures à la rentrée de septembre 2021.  Avant la réalisation de la canopée et des travaux sur les bâtiments au printemps, les travaux et aménagements des 2 grands terrains multisports (Foot, Rugby, Athlétisme... ) auraient été pratiquement achevés et 85 nouveaux arbres seraient en cours de plantation (photo d'une livraison).

  • LES REPUBLICAINS FAGOCITES PAR LES CENTRISTES A VANVES ET ISSY, DESERTES PAR LES (VRAIS) GAULLISTES

    Ces élections internes pour le renouvellement des instances des Républicains au plan local sont tout à fait significatives de l’entrisme des centristes opéré depuis des années, tant à Issy les Moulineaux qu’à Vanves qui a pris une ampleur très importante à la veille de rendez-vous électoraux (régionales et départementales en 2021, Présidentielles en Législatives en 2022) .  

    Depuis que Paul Subrini 1er maire adjoint à Issy les Moulineaux, a été mis sur la touche en 2017, et qu’il a décidé de ne pas représenter aux élections départementales de Juin, tout comme Isabelle Debré qui a décidé, pour l’instant et à cause du contexte que nous vivions de se consacrer entièrement à son association l’Enfant Bleu, les sections LR n’en ont plus que le nom : Elles ont été fagocitées par de soi-disant Républicains très pro-UDI, dont se sont toujours méfiés les vrais gaullistes, des pièces rapportées,  des marcheurs depuis l’accord Attal-Santini aux municipales, et des centristes, avec l’aide du mouvement et du département sans que beaucoup réagissent.

    La meilleure preuve en sont les candidats qui se présentent à Vanves pour les élections départementales avec le soutien de la «Majorité départementale» : deux maires adjoints de Vanves, Sandrine Bourg (LR ) belle fille du maire UDI, et Pascal Vertanessian (UDI). Et aucun candidat d’En Marche, pour l’instant,  ce qui parait bien bizarre aux yeux de certains LR.  Les centristes vont réussir à faire ce que les gaullistes n’ont pas réussi à Vanves : Avoir le beurre et l’argent du beurre. C’est-à-dire à mettre fin à l’accord de la majorité de droite : A l’une des formations, la mairie, à l’autre le conseil départemental. Car beaucoup de vanvéens et d’isséens, ne sont pas dupes de toutes ces manoeuvres politiciennes pas très belles.

    Résultats : les républicains-centristes ont la voie libre, surtout avec Hibernatus à leur tête, les républicains, canal historique pourrait on dire, s’en sont éloignés, ne participant plus comme ils l’ont fait à l’animation de la section, et il y en a beaucoup lorsqu’on voit la baisse de 75% des effectifs. Sans parler de tous ceux qui ont  tant œuvré pour le RPR et l’UMP,  dont certains ont disparus,  tenant tête face aux offensives des centristes, dans les familles Guibal, Latapie, Barois et Lecomte, sans parler des anciens maires : André Roche, gaulliste, 1er vice président du Conseil Département au côté de son président de l’époque, le compagnon de la libération Jacques Baumel, Gérard Orillard qui avait repris le flambeau en ne s’en laissant pas compter face à Roger Aveneau, alors conseiller général UDF et les barristes,  Didier Morin qui lui avait succédé, chiraquien pur jus et Isabelle Debré qui a eu fort affaire pour défendre la place des adjoints au maire et conseillers municipaux UMP et LR lors des élections municipales et de la constitution de la liste UMP (ex-RPR/UDI (ex-UDF), en 2001, 2008 et en 2014.

    Beaucoup de souviennent qu’à l’époque, il y avait une permanence, un bulletin d’infos avec « en contact», des réunions publiques sur des thèmes d’actualités, les galettes des rois au préau de l’école Larmeroux (sur la photo en 2017), le pot ou le barbecue qui suivait la célébration du 18 Juin,  les excursions à Colombey les Deux Eglises sir la tombe du Général de Gaulle, ou à Courseulles-sur-mer pour rencontrer des militants de la 5e circ du calvados etc…Elle n’est pas la seule section politique bien mal en point, comme le PS depuis l’hémorragie Macroniste où beaucoup d’entre eux se sont retrouvés à LREM, où il doit rester quelques militants purs et durs. Finalement les seuls actifs sont l’UDI, les écologiste, les communistes même s’ils ne pas très nombreux, mais ils ont la chance d’être structuré, et LREM qui, par exemple, a organisé des groupes de travail via Zoom pour préparer les élections régionales. Tout le contraire de LR qui hiberne à Vanves.